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Lila, 13 ans, nous raconte son parcours et l’importance de Sourire à la vie dans sa maladie.
Fil des actus
Lila, 13 ans, nous raconte son parcours et l’importance de Sourire à la vie dans sa maladie.
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" Je suis tombée malade en mai 2018.
Le premier matin où je suis arrivée à l’hôpital, je pensais être simplement là pour une visite, mais je me suis directement retrouvée dans une chambre, sans comprendre ce qui m’arrivait.
À cause de ma maladie, je suis restée plus d’un mois enfermée.
À cause de ma maladie, je suis restée plus d’un mois enfermée.
Je n’ai que des souvenirs flous de cette période mais je sais que c’est là que j’ai connu Sourire à la Vie. Ils sont venus se présenter et m’expliquer que je pouvais continuer à faire du sport même à l’hôpital. Quand j’ai été assez en forme, j’ai accepté de faire une séance de sport, dans ma chambre car je ne pouvais toujours pas sortir.
En réalité, je n’en avais pas vraiment envie, je n’avais envie de rien et de ne voir personne.
J’étais mal et je me repliais sur moi mais une fois ma première séance, j’étais contente et j’ai eu envie d’en faire d’autres... des fois oui des fois non, c’est dur de trouver la motivation dans une chambre d’hôpital ! Mais ils passaient toujours pour le proposer !
En réalité, je n’en avais pas vraiment envie, je n’avais envie de rien et de ne voir personne.
J’étais mal et je me repliais sur moi mais une fois ma première séance, j’étais contente et j’ai eu envie d’en faire d’autres... des fois oui des fois non, c’est dur de trouver la motivation dans une chambre d’hôpital ! Mais ils passaient toujours pour le proposer !
Et rien que ça, ça fait du bien! Lorsque j’avais assez la forme je faisais des séances de sport avec Sourire à la vie et quand j’étais trop fatiguée, simplement des jeux de société, en passant toujours des bons moments. Quand j’ai pu sortir un peu de ma chambre, j’ai pu faire mes séances dans la salle de sport de l’hôpital (en fonction de mon état).
Pendant plusieurs mois, ça a continué comme ça...
Pendant plusieurs mois, ça a continué comme ça...
Et en février 2019, j’ai enfin pu aller au Phare des sourires, un endroit génial!
J’ai rencontré plein d’enfants, je me suis fais aussi des amis, qui sont eux aussi malades. J’ai pu aussi retrouver un peu de force, petit à petit, à mon rythme.
J’ai rencontré plein d’enfants, je me suis fais aussi des amis, qui sont eux aussi malades. J’ai pu aussi retrouver un peu de force, petit à petit, à mon rythme.
J’ai participé aux mercredis du phare, à des séjours le week-end et pendant les vacances.
Et j’ai aussi eu la chance de faire partie d’un séjour en Corse. Ce voyage était extraordinaire, j’en garde plein de très bons souvenirs.
Puis si tout va bien, je devrais faire partie du prochain voyage en Laponie.
Et j’ai aussi eu la chance de faire partie d’un séjour en Corse. Ce voyage était extraordinaire, j’en garde plein de très bons souvenirs.
Puis si tout va bien, je devrais faire partie du prochain voyage en Laponie.
Je continue aussi d’aller faire du sport à la salle quand je fais les traitements à l’hôpital.
Je peux dire que Sourire à la Vie m’a beaucoup aidé dans mon parcours face à la maladie, ils m’ont aidé à tenir, à retrouver l’envie de bouger, à faire du sport et même si j’avais envie de tout lâcher, ça m’a aidé a continuer d’avancer et gagner! "
Je peux dire que Sourire à la Vie m’a beaucoup aidé dans mon parcours face à la maladie, ils m’ont aidé à tenir, à retrouver l’envie de bouger, à faire du sport et même si j’avais envie de tout lâcher, ça m’a aidé a continuer d’avancer et gagner! "
