Le ministre de la Santé et de la Prévention, François Braun, en visite au Phare des Sourires ce vendredi 4 novembre.

Face à la mer, le Phare des Sourires propose des solutions d’accueils adaptées et sur mesure aux enfants malades du cancer. L’association y met en place des soins dits «de support », complémentaires aux traitements contre le cancer, répondant aux besoins des jeunes patients par de l’activité physique adaptée, de l’imagerie mentale, de la rééducation, de la nutrition, du soutien psychologique etc...

 

Aujourd’hui, l’association a pour vocation de développer ses compétences en matière de soins afin de répondre à toutes les problématiques que peuvent rencontrer les familles durant le combat contre la maladie.

C’est en ce sens que Monsieur François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention a répondu à l’invitation de Sourire à la vie et est venu à la rencontre des jeunes patients et de l’équipe de l’association.  

Les enfants et adolescents de la compagnie, en séjour au Phare des Sourires, en ont profité pour présenter un extrait du spectacle aux personnes présentes.

 

Merci à Monsieur Christophe Mirmand, préfet des Bouches-du-Rhône, Monsieur Denis Robin, directeur de l’Agence Régionale de Santé PACA & Madame Michèle Rubirola, première adjointe au maire de Marseille, d’avoir pris part à ce moment d’échanges sur les perspectives d’évolution de l’association afin d'aller, ensemble, toujours plus loin pour les enfants du cancer.

Merci également à nos équipes, Norbert Nabet, président de l'association, Arnauld Verschuur, pédiatre-oncologue à l'APHM et conseiller médical au conseil d'administration de l'association, Blandine Vallentin, pédiatre de l'association, Ina et Edgar.

« Je souhaitais venir pour découvrir cette initiative innovante et exceptionnelle ; une organisation portée par l’association Sourire à la vie qui prend en charge ces enfants malades du cancer en sortie d’hospitalisation pour les remettre sur pieds et leur redonner goût à la vie.

 

Dans ce sens, le développement de l’association ne doit pas être contraint par le cadre règlementaire, nous devons adapter notre règlementation à la réalité de la vie, à la réalité de ce qui se passe. Le phare des Sourires répond à un besoin de santé extrêmement important pour ces enfants et leurs familles. »